Ressusciter votre Enfant de Vie et donner place à votre Moi véritable en quatre étapes !…

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Ressusciter votre Enfant de Vie et donner place à votre Moi véritable en quatre étapes !…

La Présence consciente et aimante

Vous vous êtes observé et vous vous êtes rendu compte de l’existence de ces deux personnages en vous. Alors, je vais en introduire un troisième. Réfléchissez: quelle est la partie de vous qui observe et se rend compte? C’est un personnage que nous n’avons pas encore évoqué. C’est l’Observateur. C’est la Présence.

La Présence a elle aussi plusieurs visages. Lorsqu’elle observe les jeux scéniques de l’Enfant et du Comédien, c’est la Présence consciente. Elle est aussi un Cœur aimant qui peut écouter et déverser de la bienveillance sur l’Enfant et sur le Comédien: c’est la Présence aimante. Elle a le pouvoir de décider de s’occuper de l’Enfant et du Comédien: c’est la Présence agissante.

Si vous décidez de vous libérer de votre malaise et de vos souffrances, vous allez maintenant faire appel à la Présence pour ressusciter votre Enfant de Vie et donner place à votre Moi véritable. Afin de faciliter la compréhension de ce processus de libération et de résurrection, je l’ai structuré en 4 étapes. Il est possible que vous parcouriez ces étapes l’une après l’autre dans cet ordre dans votre évolution. Il est également possible qu’elles se succèdent dans un autre ordre, ou bien de façon cyclique et rapide, ou qu’elles soient simultanées.

J’écoute le langage de mes émotions

Pour mettre en œuvre la résurrection de notre Enfant Intérieur, la première étape est de tourner notre attention vers notre Enfant Intérieur et notre Comédien. Comment les rencontrer et reconnaitre leurs manifestations?

Nous percevons l’Enfant Intérieur par nos sensations physiques, nos émotions et nos sentiments. L’observation de nos sensations et de nos sentiments est un outil d’information formidable qu’il serait désolant de ne pas utiliser. Ils nous révèlent ce que nous sommes vraiment. Ils nous donnent accès à la voix de l’Enfant Intérieur, à ses attentes, à ses besoins.

Toutefois, beaucoup d’entre nous éprouvent de la difficulté à percevoir l’appel de l’Enfant. Cela peut parfois nous demander une rééducation, tant nous avons été entrainés à occulter nos perceptions. Mais chacun a l’expérience de domaines ou aspects de sa vie où il perçoit parfaitement, et qui peuvent lui servir de point de départ. Voici un exemple.

Conflits entre contraintes et plaisir

Penchons-nous sur notre journée, ou sur notre vie. Certains évènements nous ont apporté des satisfactions et des joies, n’est-ce pas ? Et nous avons également été mécontents, insatisfaits, rageurs ou désespérés, parce que la journée ou la vie ne nous apportait que désagréments et difficultés. Vous avez vécu cette expérience, donc vous êtes tout à fait capable de percevoir et d’identifier ces deux types de sentiments: d’un côté la satisfaction et le contentement, de l’autre l’amertume et le mécontentement. Le fait de reconnaitre votre capacité de perception est une porte très importante, même si elle peut vous sembler banale. Cela va vous permettre de la conforter et de la développer.

Allons donc plus loin dans l’observation de nos insatisfactions. Nous accomplissons certaines activités par devoir ou contrainte, tels certains travaux professionnels, alors que nous ne les aimons pas beaucoup, parce que nous pensons que nous ne pouvons pas leur échapper. Nous les effectuons pour survivre ou par habitude. C’est ce que nous souffle notre raison. Ainsi certains étudient laborieusement pour obtenir un diplôme qui n’est pas vraiment leur vocation. Ils pensent que c’est le seul moyen de « réussir » leur vie, qu’ils n’ont pas le choix. S’ils l’avaient, ils aimeraient faire autre chose. A l’opposé, il y a d’autres activités que nous adorons parce qu’elles nous font du bien, qui nous donnent l’impression de nous régénérer. Ces tiraillements fréquents entre le cœur et la raison ou entre le devoir et le plaisir ne sont que la manifestation des conflits entre l’Enfant de Vie qui réclame l’attention et le Comédien-Juge qui le réprime au nom des règles du bien.

Sentir ces tiraillements est extrêmement instructif. Observez-vous et distinguez ce que vous faites par obligation, pour obéir à vos idées, vos croyances, et ce que vous faites avec cœur, par pur plaisir. Ne tirez pas de jugements négatifs sur vos observations et ne les faites pas suivre de décisions hâtives. Prendre des décisions nécessite de comprendre mieux ce qui est bon et juste. Il s’agit seulement de prendre le temps de faire l’état des lieux: dans tel domaine, je me sens dans la contrainte et la tension, et dans tel autre, dans la détente et la satisfaction.

J’accueille mes émotions

Le simple fait de tourner notre attention vers notre malaise en observateur qui constate sans juger, est déjà un acte de soin envers notre Enfant. Représentez-vous cet Enfant comme un enfant perdu dans une rue et vous passez régulièrement devant lui depuis des années sans vous apercevoir de sa présence. Un jour, vous percevez son appel et vous tournez votre regard vers lui. Même si vous ne faites rien, c’est déjà pour lui un immense soulagement, une joie. C’est reconnaitre que l’enfant est là, qu’il existe, qu’il vit. Ensuite, vous avez le choix de l’ignorer ou de vous en occuper. La différence est que l’Enfant Intérieur fait partie de nous et que nous subirons les conséquences de notre choix.

Portons attention et accueillons notre ressenti chaque fois que nous éprouvons du ressentiment ou des sensations désagréables.

Le cas de ISABELLE (18 ans): Je ne me sens pas bien avec ma mère. Je trouve que ses messages me disant « ma chérie, je t’aime » sonnent faux. J’aimerais recevoir de l’amour, de la protection, de l’attention et de la tendresse. Mais je ne veux pas lui demander à elle, elle ne me convient pas, j’aimerais une autre mère. Avant, ma mère ne s’occupait pas de moi, elle était absente, prise par son boulot.

Isabelle exprime de la rancœur parce que sa mère était absente. Son Enfant Intérieur a gardé ce mécontentement et de la colère. Elle prend conscience de cette amertume qu’elle n’avait pas remarquée avant.

Généralement, nous savons nous débrouiller avec un enfant de rue. Nous lui demandons ce qui ne va pas, nous cherchons à savoir de quoi il souffre, nous dialoguons avec lui. Eh bien, faisons de même avec l’Enfant Intérieur. Cela revient à « accueillir nos émotions au lieu de les ignorer ». En accueillant mes émotions, j’accueille mon Enfant.

Beaucoup de gens décident d’accueillir mais ignorent ce que ça signifie concrètement. Il suffit de revenir à l’image de l’enfant de rue pour avoir la solution. Entre chez moi, tu es le bienvenu, tu as ta place. De plus, il est essentiel de rester présent avec lui. C’est notre Présence aimante qui l’accueille. Autrement dit, j’accepte la présence de mon émotion quelle qu’elle soit, sans aucun jugement. Je ne la repousse pas, je l’autorise à se manifester. Par ma Présence aimante, je suis compréhensif envers mon Enfant et je lui souris.

Il est donc contre-indiqué de brusquer l’Enfant blessé parce qu’il est en colère ou qu’il boude, autrement dit de nous juger mauvais parce que nous sommes en colère. L’autorité en nous qui brusque, c’est le Comédien-Juge. Plus on brusque l’Enfant, plus on le met en insécurité, et plus il devient acariâtre, plus on se sent mal. Combattre le ressentiment lui donne de la FORCE. Je ne cherche pas à repousser mes émotions négatives. Le seul fait d’accueillir l’émotion la transforme. Cela peut aller à l’encontre d’idées reçues très répandues. Par exemple, celle que la colère fait partie de notre tempérament, que c’est dans notre nature, qu’il n’y a qu’à la réprimer, la combattre par le contrôle et la discipline. C’est faux, la colère nait essentiellement de l’enfermement que ressent l’Enfant sous la dictature de son Juge, et non à cause d’une personne extérieure.

J’apprends à distinguer sentir et savoir

Il arrive souvent que des personnes aient des difficultés à faire la différence entre leur ressenti et leur savoir, même si le concept leur parait clair. Cela provient de la mise en place de mécanismes de protection qui nous empêchent de sentir, et également d’un manque d’entrainement. Personne ne nous a appris à sentir et accueillir nos émotions, et surtout pas l’école.

Le cas de CARL: Carl se sent très mal, parce que sa femme envisage la séparation. Il identifie facilement un sentiment d’abandon. Lorsque je lui propose de ressentir ici et maintenant ce sentiment qui est présent en lui, il me répond que ce sentiment d’abandon lui est connu depuis déjà quelque temps.

Carl ne comprend pas ma proposition d’être présent à son sentiment de détresse. Il croit qu’une fois qu’il sait cela suffit pour pouvoir le traiter. Si vous voulez vous occuper d’un enfant chez vous, il n’est pas suffisant de savoir qu’il est là. Vous devez lui porter attention au présent avec vos sens, vos yeux et vos oreilles. De même, porter attention au présent à nos sensations est extrêmement bénéfique à notre amélioration.

Je reconnais mes besoins

Après avoir accueilli nos émotions, la deuxième étape consiste à identifier les besoins qui se manifestent derrière ces émotions et ces sensations. Elles sont le signal qu’un ou plusieurs besoins profonds n’ont pas été remplis. Prenons le cas d’Isabelle qui est amère envers sa mère. Cela révèle j’ai besoin qu’on s’occupe de moi, j’ai besoin d’attention et de tendresse. Le sentiment d’abandon de Carl révèle également son besoin d’attention de la part d’une femme.

Souvent, nous ne nous rendons même pas compte de ce besoin. Si nous sommes en colère parce que quelqu’un n’a pas respecté notre espace, immédiatement, nous accusons l’autre. Tu ne me respectes pas. Cessons de reporter sur l’autre la responsabilité de nos sentiments. Reconnaissons qu’ils expriment notre besoin. Disons je au lieu de tu. J’ai besoin d’être respecté, j’ai besoin d’être tranquille, j’ai besoin d’espace. Cela nous apprend à identifier les besoins de notre Enfant de Vie. Quand nous éprouvons un sentiment de gêne, une émotion négative, nous pouvons également nous poser la question: « Qu’est-ce qui me manque pour que je sois satisfait ? »

Lorsque le besoin est identifié, que faire avec ? Allons-nous demander à l’autre de le remplir ? Cela peut se produire dans certaines situations si c’est un besoin du présent. Mais ordinairement, ce n’est pas le cas. Par exemple, bien que le besoin d’amour d’Isabelle vis-à-vis de sa mère semble actuel, il n’est en réalité qu’un besoin de son passé non assouvi. Et si sa mère actuelle se mêle de le satisfaire, Isabelle le refuse. Ce qu’exprime le malaise est la réactivation d’un besoin ignoré du passé, réactivation d’une blessure pas encore guérie. Chercher quelqu’un pour remplir ce besoin n’est pas la solution. C’est en nous que nous trouverons ce quelqu’un, c’est notre Présence aimante. « Personne d’autre ne peut le satisfaire ». Un peu plus loin, dans la section Soin, je donne quelques indications pour nous occuper des besoins actuels de notre Enfant.

Comment cette Présence aimante peut-elle satisfaire ou désamorcer nos besoins ? En les reconnaissant et en acceptant leur existence sans jugement, de la même façon que nos émotions. C’est déjà énorme. D’ailleurs, nous avons déjà initié ce processus. Le seul fait d’avoir accueilli nos émotions est déjà une façon de répondre au besoin primordial de reconnaissance et d’écoute. Accueillir les besoins sans aucun jugement, c’est demander au Juge de se taire. Occupons-nous maintenant de notre Juge qui est un des rôles les plus importants du Comédien.

Je cesse de me juger

En découvrant les besoins de notre Enfant, il est fréquent que nous en éprouvions de la honte et que nous hésitions à prendre soin de lui. Nous nous sentons égoïstes ou ridicules. Mais interrogez-vous: qui, en nous, nous suggère cette honte et cherche à nous détourner de l’Enfant ? Nous reconnaissons la voix de notre Juge qui ne veut pas être mis à l’écart. Il demande d’obéir à ses règles de convenance et de ne pas écouter l’Enfant qu’il juge inconvenant. La troisième étape de la résurrection de notre Moi véritable est de cesser d’écouter les injonctions de ce Juge et des autres sous-personnalités issues du système de fausses croyances de notre éducation ou des fausses croyances de la société.

J’abandonne mes vieilles croyances

Nos représentations et croyances ont été forgées dans un contexte particulier du passé et ne sont plus adéquates. Si par le passé, il était légitime de demander à nos parents de nous procurer de la sécurité et de l’attention, ce n’est plus possible. Demander à l’autre de nous donner le bonheur est inaccessible. Penser que l’autre peut nous le donner, penser que nous devons le donner à l’autre sont des croyances qui créent ce qu’on appelle en psychologie la co-dépendance.

C’est seulement nous-mêmes qui pouvons créer notre bonheur, en abandonnant ces croyances et en écoutant notre Enfant de Vie.

Observez vos fonctionnements et détectez les croyances qui les sous-tendent. Cela vous permettra de vous distancer d’elles, puis de les transformer. Le facteur de transformation le plus puissant est de cesser de vous juger, même si vous sentez que vous n’êtes pas parfait. Chaque fois que nous éprouvons de la honte, du remords, du regret, que nous nous trouvons stupides, trop ceci ou pas assez cela, nous nous jugeons. Autrement dit nous estimons que nous aurions dû être autrement « POURQUOI » ?. Chaque fois que vous hésitez à reconnaitre votre besoin intérieur, chaque fois que vous en avez honte, « demandez-vous quelle est la croyance qui se profile derrière cette hésitation et vous dicte qu’il ne faut pas vous occuper de votre Enfant ».

Lorsque nous découvrons toutes nos croyances, il se peut que nous soyons affolés et nous avons tendance à trouver que notre Juge est mauvais et détestable. C’est encore un jugement basé sur une croyance. Comme pour les émotions négatives, la solution n’est pas de brusquer le Juge, cela renforcerait les conflits et les coupures intérieures. Le Juge a été d’un grand secours pour notre survie par le passé. Nous pouvons le remercier, lui dire qu’il a terminé son service, l’inviter à partir ou à se mettre au service de notre Enfant, comme un domestique qui ne nous est plus utile.

Je me pardonne. J’apprends à m’aimer

Cesser de se juger, c’est accepter totalement d’être ce que nous sommes et ce que nous avons été. Une autre façon de le dire, c’est d’être tolérant, indulgent pour notre Enfant.

Attention, cela ne signifie pas que nous devons rester complaisants avec nos dysfonctionnements. Il est bien sûr indispensable d’avoir un idéal de croissance et de perfectionnement. Mais nous nous rendons compte que nos prétendues « fautes » ne sont que le fruit de l’ignorance. Nous comprenons que nous n’avons pas fait de « bêtises ». Nous expérimentons avec notre conscience du moment. Nous faisons pour le mieux avec ce que nous sommes, nous tâtonnons, nous sommes en apprentissage. Chaque expérience, chaque vécu fait évoluer un peu plus notre conscience, et peu à peu nous nous développons, même si c’est par des chemins quelquefois bizarres.

Lorsque l’enfant perdu de la rue se met en colère, ou casse quelque chose, nous reconnaissons là le symptôme de sa souffrance et nous avons de la compassion. Lorsqu’il est de bonne volonté mais se trouve incapable de nous dire ses émotions ou ses besoins, ou de faire ce que nous lui suggérons, nous lui pardonnons sa maladresse, car nous savons qu’il est en devenir. Faites de même avec votre Enfant, avec vous-même. Soyez bienveillant avec vous-même, soyez indulgent. Nos parties ombrageuses telles que le Juge et d’autres sous-personnalités ressemblent à des enfants mal-aimés, coupés de l’amour et de la lumière. Ils ont besoin d’être pardonnés.

Le pardon, c’est cesser de se juger. Ce n’est pas oublier nos fautes ou passer par dessus, c’est réaliser profondément qu’il n’y a pas eu de fautes. C’est être bienveillant, avoir de la compassion. C’est s’aimer soi-même. En nous pardonnant, nous reconnaissons que nous sommes quelqu’un d’estimable qui mérite l’amour et la joie. Donnons-nous cet amour.

Je prends soin de mon Enfant de Vie

Dans les étapes précédentes, nous avons essentiellement porté notre attention sur notre Enfant blessé. Dans la quatrième étape, nous allons nous occuper de notre Enfant Libre, l’aider à prendre sa place et l’encourager à manifester sa joie de vivre.

Je repère les moments de bonheur

C’est par le malaise que nous avons été conduits vers notre Enfant blessé et abandonné. C’est en repérant nos moments de bonheur que nous reconnaitrons notre Enfant Libre. Chaque fois que nous sommes alignés avec notre Enfant Libre, nous éprouvons de la joie. Elle peut prendre diverses formes: paix, satisfaction, bonheur tranquille, enthousiasme, pétillement, sensation d’expansion. Chacun d’entre nous a eu l’occasion de vivre de tels moments, même si cela a été très fugitif. Nous avons tendance à les oublier, cependant un peu d’introspection et d’attention va les faire ressurgir.

Faites le catalogue de ce qui vous fait du bien. Rappelez-vous les moments où vous avez ressenti du plaisir de vivre, où vous avez oublié vos conditions de vie. En analysant quels étaient les ingrédients de ce moment de joie, vous saurez ce que demande votre Enfant de Vie. Cela peut être quelque chose de très simple. Vous pouvez vous souvenir de moments de bonheur de votre vie présente, ou des moments de votre passé, de votre enfance. Prenez le temps de vous arrêter sur ces souvenirs, pour les ancrer et les nourrir.

Carl: C’est quand je suis dans la nature. J’ai un jardin chez moi, et je cultive des palmiers; j’aime le moment où l’arbre fructifie. Et ça se voit dans le ton qu’il prend pour le raconter. Il s’anime, devient vivant et pétillant.

Je me fais du bien

Lorsque vous avez repéré les circonstances où vous êtes bien, demandez-vous quelle part vous leur accordez dans votre vie actuelle. Puis-je consacrer plus de temps pour nourrir mon Enfant ? Qu’est-ce qui me fait du bien ? Écouter de la musique, me promener dans le bois, dessiner, bricoler, escalader, rendre visite à un ou une ami(e), recevoir un massage. Reconnaissez le plaisir qui est associé à cette activité. Il n’y a pas forcément besoin de lui accorder beaucoup de temps. Le plus important est d’y apporter de l’attention, même si c’est bref.

Il se peut que le Juge pointe son nez en vous suggérant qu’en vous occupant de vous, vous êtes égoïste. Sachez que ce n’est pas de l’égoïsme. C’est être attentif à votre Enfant de Vie et à vous rendre heureux. Vous avez le choix entre vous nier pour répondre aux demandes des autres en restant malheureux, ou être juste avec vous pour vous épanouir et être capable de rayonner paix et amour autour de vous.

L’idée importante est qu’au lieu d’aller chercher à l’extérieur quelqu’un qui nourrisse votre Enfant, vous avez la possibilité, au moyen de votre Présence Aimante, de le nourrir vous-même.

Ceci n’entraine pas que vous vous trouverez seul, mais au contraire que vous attirerez de plus en plus de personnes aimantes dans votre entourage. Écartez la croyance que les gens qui vous aiment sont là pour répondre à vos besoins, mais acceptez leurs dons avec joie.

Vous pouvez aussi intensifier ce processus par des techniques thérapeutiques spécifiques qui visent à renforcer l’Enfant de Vie dans sa vitalité, dissoudre les blessures de l’Enfant blessé et les cuirasses musculaires correspondantes. Par exemple des visualisations ou des affirmations positives, http://www.chantetasante.com.

Je favorise l’expression de mon élan de Vie

Vous avez consolé l’Enfant en vous, il se sent reconnu et aimé. Ses pleurs ont séché. Que fait un enfant réel dans ce cas ? Il ne pense plus à son passé douloureux. Il manifeste sa joie et a envie d’aller participer aux jeux des autres. Il ne cherche pas à contrôler son comportement en fonction de règles de bienséances. Il est créatif et s’exprime sans honte, sans jugement. Autorisez votre Enfant Libre à se manifester de la même façon. Laissez-le exprimer sa joie de vivre.

Soyez avides de tout comme un enfant, soyez avides de Dieu comme un enfant. Ayez l’audace de croire que le monde vous appartient comme un enfant. Ayez l’audace de croire que l’amour est votre dû et aimez comme un enfant en vous laissant bercer le coeur confiant dans les bras de Dieu en toute innocence.

Lorsque nous laissons libre cours à notre Enfant de Vie, nous sommes spontanés, nous nous trouvons très légers et à l’aise dans notre façon d’être, nous avons envie de chanter et danser. L’expression spontanée comporte plusieurs volets: laisser s’exprimer notre émotion de joie ou de peine; laisser s’exprimer notre comportement spontané tel que chanter ou sauter si nous en avons envie; oser être sensoriel et sensuel. Et aussi, laisser émerger en nous nos possibilités créatrices, en art, en écriture, en bricolage, en jardinage, ou encore en favorisant des rencontres, des groupes de personnes, etc.

Certaines des personnes qui cherchent à favoriser leur Enfant Libre disent (pour la plupart des hommes): je n’arrive pas à exprimer mon émotion, je ne peux pas pleurer. Un tel désir est encore dans le vouloir, vouloir être quelqu’un d’autre. « Je veux pleurer », c’est comme « je ne veux pas pleurer ». C’est l’opposé de l’accueil de ce qui est. Par exemple, si vous sentez une bouffée de chagrin en vous et que vous avez envie de pleurer, peu importe si vos pleurs sont exprimées ou non du moment que vous avez senti le chagrin en vous. Cela suffit pour entendre l’Enfant Intérieur et comprendre son message. L’expression viendra plus tard de façon naturelle.

Lâcher-prise et confiance

Le perspective de lâcher le Comédien et de donner place à l’Enfant Libre fait surgir une nouvelle crainte, celle de l’inconnu. Nos croyances nous avaient permis de mettre en place un système de points de repère bien établis qui semblaient nous apporter la sécurité: la famille, le métier, la sécurité sociale, la maison, etc. Où nous mène notre nouveau guide, l’Enfant libre ? Ne risquons-nous pas d’aller dans des voies absurdes, folles, et de nous perdre ?

Cependant, une réflexion révèle que la sécurité des croyances est à la fois illusoire. Notre quotidien de ce que nous connaissaons peut nous être enlevé et les structures sociales et familiales peuvent s’écrouler. A l’inverse, suivre l’appel de son Enfant, c’est lâcher le bord de la piscine ou de la rive et se laisser emporter par le courant de notre énergie de Vie. Mais où ? Peut-être est-ce le vide, peut-être est-ce un piège, peut-être allons-nous tout perdre ou nous noyer? Notre plus grande peur est d’être séparé, de ne plus être aimé.

Aussi, lâcher le Comédien, la Personnalité, c’est ce qu’on appelle le lâcher-prise et c’est un des passages les plus délicats, une expérience majeure. C’est au prix du lâcher-prise que nous découvrons la force du courant de vie, et que bien loin de rencontrer le vide, nous ouvrons la porte à une plus grande puissance de nous-même, à une autre dimension. C’est un acte de confiance, de foi en la Vie. Cette foi peut-être encouragée, car d’autres en ont fait l’expérience et nous la rapportent, de la même façon qu’un voyageur nous rapporte ses récits de voyages.

L’ambassadeur de l’âme

Une autre dimension, une grande puissance, de quoi parle-t-on ? Posons la question autrement. Nous avons expérimenté l’appel de l’Enfant Intérieur. Qu’est-ce que cet appel de la Vie ? Pourquoi nous sentons-nous vrais dans certains actes et pas dans d’autres ? Qu’est-ce donc que ce moi véritable ? Appelons-le le SOI supérieur ou l’Âme. L’Âme est l’un de ces corps subtils vibratoires dont nous sommes constitués (voir article Chakras et corps énergétiques). Elle fonctionne comme un code, un programme d’identité profond en nous  qui nous conduit au long de notre vie et nous met en face d’expériences possibles en vue de notre réalisation la plus élevée. Mais elle n’impose rien, nous avons toujours le libre choix, c’est la loi de la condition humaine. L’Enfant Intérieur est l’ambassadeur, le porte-parole de l’Âme.

Ouvrez-vous pour recevoir l’amour de l’âme aussi souvent que vous pourrez y penser. Votre âme sait que vous êtes un être magnifique et merveilleux. Elle aime votre humanité et votre divinité. Elle est incapable de vous juger, d’être fâchée, déçue ou en colère à votre égard. Elle se réjouit chaque fois que vous vous aimez, sachant qu’en vous aimant et en vous respectant vous-même, vous vous rapprochez d’elle. Votre âme vous aime et vous accepte inconditionnellement.

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