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Faites-vous de la «rumination mentale» ?…

Chacun a fait cette expérience. Cela survient après une grave dispute avec un collègue de travail ou un membre de sa famille. Le conflit est violent et la rupture brutale. Durant les jours et les nuits qui suivent, notre esprit est envahi par cette histoire. On a du mal à se concentrer sur son travail, à trouver le sommeil. Les mêmes idées reviennent en boucle à l’esprit : la scène de la dispute, le visage de notre interlocuteur, les réponses que l’on aurait aimé faire, les conséquences de cette rupture, etc.

Voilà un exemple de ce que l’on appelle couramment les « idées sombres ». Les psychologues parlent quant à eux de « rumination mentale ». Celle-ci survient dans la vie quotidienne de chacun d’entre nous, avant de s’estomper rapidement. Elle prend une tournure dramatique, envahissante chez les personnes qui ont subi un choc traumatique, chez les dépressifs ou encore chez les personnes atteintes troubles obsessionnels compulsifs (Toc).

Comment se développe-t-elle ? Un événement traumatisant est-il nécessaire ou peut-elle surgir de façon endogène, sans raison apparente ? Parfois, elles masquent des inquiétudes plus profondes (de la maladie, de l’abandon, de la mort) qu’il faut aborder en psychothérapie.

Parfois, elles ne sont « que » l’expression d’un tempérament anxieux ou pessimiste dont on ne prend pas assez soin, et représentent l’équivalent, en tant que tension mentale, d’une tension physique (comme le besoin de bouger, de remuer jambe ou pied, de tripoter ou mâchouiller des objets). Dans ce cas, les ruminations sont une bonne indication d’une pratique méditative, où l’on apprendra, comme une hygiène quotidienne, des exercices où l’on s’efforcera de garder son esprit dans le moment présent (en se centrant sur sa respiration, ses sensations corporelles, les bruits environnants) pour peu à peu arriver à prendre du recul envers ce murmure confus de notre âme que représentent les ruminations.

Ce n’est pas si facile et c’est pour ça que cela doit s’apprendre, tout simplement. Recherchez ce que l’on propose près de chez vous : yoga, méditation zen ou pleine conscience, etc. Pour vous initier à cette démarche, vous pouvez lire le GUIDE DE LA SURVIE ÉMOTIONNELLE par Grace St-Gelais sur http://www.chantetasante.com

Il existe aussi pour s’en sortir L’AMOUR, L’AMOUR DE SOI ET L’AMOUR ENVERS LES AUTRES, le fait de dire chaque jour «JE M’AIME, JE M’APPROUVE», est PUISSANT. Quand vous étiez petit vous avez appris en répétant, encore aujourd’hui si vous désirez apprendre une nouvelle chose vous allez devoir répéter… Votre subconscient c’est comme ça qu’il fonctionne, IL A ÉTÉ PROGRAMMÉ pour faire une chose que vous avez entendu et que l’on vous a répété, mais, qui n’était pas nécessairement bon pour vous «votre âme», votre façon de vivre, ce que vous êtes. Aujourd’hui vous devez faire un nettoyage et faire une programmation selon le cas avec de nouvelles affirmations. Si par exemple, quand vous étiez petit on vous disait: «tu es laid, jamais une femme voudra te marier», aujourd’hui votre estime est au plus bas ? … Mais par contre si vous répétez à votre subconscient plusieurs fois par jour devant le miroir » Je suis beau, charmant, je plais au femme», et bien au bout d’un moment votre subconscient le programmera et vous deviendrai confiant et vous vous accepterez tel que vous êtes, vous serez celui que vous dites chaque jour devant le miroir … car le fait de répéter fait en sorte que vous devenez ce que vous répétez, je répète je m’aime ? Avec le temps je m’aime ! Voilà … C’est le même principe pour la maladie … à lire plus bas… Continuer la lecture de Faites-vous de la «rumination mentale» ?…